Je veux toute ma vie te louer, Roi des rois! Ta grâce éternelle, et rien jusqu’à la fin ne pourra, Dieu fidèle, me ravir de ta main.

Dans ce temps de crise, prenons le temps de nous approcher du Seigneur pour le louer.

V.1-2 ACCLAMEZ YAHVÉ, TOUTE LA TERRE, SERVEZ YAHVÉ DANS L’ALLÉGRESSE, VENEZ À LUI AVEC DES CHANTS DE JOIE!

Toute la terre est invitée à chanter, à célébrer le Seigneur, à le servir avec joie. Entrons dans la vie spirituelle, nous ne nions pas ce qui se passe, c’est terrible, beaucoup de violence, de haine, de souffrance. Nous perdons des droits fondamentaux mais Dieu règne, il vient, nous l’attendons et en attendant nous le servons avec joie, allégresse. Venons à lui, ensemble, avec des chants joyeux, des chants de triomphe. Rejetons les fardeaux que le monde impose et soyons remplis d’enthousiasme, de bonheur car nous faisons partis du peuple de Dieu.

V.3 SACHEZ-LE, C’EST YAHVÉ QUI EST DIEU, IL NOUS A FAITS ET NOUS SOMMES À LUI, SON PEUPLE ET LE TROUPEAU DE SON PÂTURAGE.

Il n’y a que l’Éternel qui est Dieu et il n’y en a point d’autres. Il est le seul, l’unique. C’est lui qui nous a créés, c’est lui qui a fait de nous son peuple, c’est lui qui nous a sauvés, nous lui appartenons, nous sommes son héritage et il nous conduit en toute sécurité jusque dans l’éternité, jusqu’à la ville sainte, Sion la bien-aimée, là où règne notre Roi.

V.4 VENEZ À SES PORTIQUES EN RENDANT GRÂCES, À SES PARVIS EN CHANTANT LOUANGE, RENDEZ-LUI GRÂCES, BÉNISSEZ SON NOM.

Venez, entrez, le Messie a ouvert la porte, par la croix il a tracé la route, entrez en chantant, en le louant, que le nom de Jésus soit béni!

V.5 IL EST BON, YAHVÉ, ÉTERNEL EST SON AMOUR, ET D’ÂGE EN ÂGE, SA VÉRITÉ.

Comme il est bon le Seigneur de nous avoir pardonné, accueilli, de nous aimer pour toujours, sans relâche, merci pour cet amour qui nous fait grâce, merci pour sa miséricorde, sa bonté, sa bienveillance qui sont éternelles. Nous sommes en sécurité car nous savons que sa vérité demeure à toujours, sa loyauté est pour toujours.

Je lui appartiens et personne ne pourra me ravir de sa main paternelle.

Claude et Liette