Au-dessus des peuples divers, que ta croix resplendissante; au nom du Christ, dans l’univers, que tout genou fléchisse!
Comme c’est bon de savoir que le Seigneur nous connaît et qu’il s’intéresse au moindre détail de notre vie. Nous n’avons pas à avoir peur et à vivre caché comme Adam dans le jardin qui douta de l’amour de Dieu.
V.13 C’est toi qui as formé mes reins, qui m’a tissé dans le sein de ma mère.
Nous ne sommes pas le fruit du hasard mais de toute éternité le Seigneur désirait notre naissance.
V.15-16a Mon corps n’était point caché devant toi, lorsque j’ai été fait dans le lieu secret, tissé dans les profondeurs de la terre. Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient…
Dès la conception, le Seigneur nous voit et se réjouit de notre existence, nous sommes désirés par Dieu, peu importe les circonstances de notre naissance, sachez que Dieu nous aime de toute éternité et qu’il n’a qu’un seul but, de nous aimer et que nous soyons près de lui pour toujours.
Le danger est que nous perdions de vue la route qui nous conduit près de lui. Demandons-lui de nous y conduire en toute sécurité.
V.23-24 Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Éprouve-moi, et connais mes pensées! Regarde si je suis sur une mauvaise voie, et conduis-moi sur la voie de l’éternité!
Que je permette au Seigneur (car il me respecte) de regarder mon coeur, de l’examiner pour savoir s’il est malade, s’il s’égare ou s’éloigne. C’est lui le grand médecin et parfois on est malade sans en être conscient. Qu’il prenne connaissance de mes intentions, de mes inquiétudes. Et si je suis sur un mauvais chemin qui l’afflige, si je l’offense ou si je suis sur une voie de perdition qui est fatale, funeste, périlleuse, si je suis sur un chemin qui mène à la mort éternelle, je lui demande et lui permet de me ramener dans le droit chemin, le chemin de l’éternité, le chemin qui me conduit près du Père qui a tant désiré ma naissance.
Ne me laisse pas m’égarer sur la mauvaise voie, conduis-moi sur la voie de l’éternité!
Claude et Liette