Quel bonheur quand, faisant trêve un moment à nos labeurs, l’aube du saint jour se lève dans le ciel et dans nos coeurs! Dès le matin, plus légère, l’âme s’élève au Seigneur sur l’aile de la prière; quel bonheur!
UN CHEMIN TRACÉ
Ésaïe 51:10
N’est-ce pas toi aussi qui asséchas la mer, les eaux du grand océan? Et toi qui traças un chemin dans les profondeurs de la mer, pour y faire passer ceux que tu as libérés?
Un jour Dieu alla chercher son peuple qui souffrait en Égypte, par sa main puissante le conduisit hors des murs. Mais le peuple devait traverser la mer pour se rendre au pays promis. Au milieu de la mer Dieu fraya un chemin dans les eaux profondes pour que le peuple puisse traverser et arriver dans ce lieu où Dieu les attendait pour les bénir et qu’ils puissent enfin se reposer de leurs travaux, de leurs peines et de leur misère.
Aujourd’hui, il y a un chemin ouvert, tout tracé, à travers cette mer du monde où règne la souffrance, l’esclavage, la misère, la peine, le désespoir. Ce chemin se trouve dans le Christ-Jésus, dans son œuvre à la Croix, il a englouti la mort, il a tué la mort, elle n’a pas pu le retenir, il est sorti de la tombe et a ouvert la route qui conduit à la Cité de Dieu. Par sa Parole, il m’a libéré du mensonge, de la servitude de ce monde pour que je puisse passer de l’autre côté, sain et sauf et j’atteindrai la Cité de Dieu et j’y trouverai le repos, la joie et la paix dans l’amour infini de Dieu.
Claude et Liette