Agneau, victime expiatoire, nous contemplons ta charité, ta mort sanglante et ta victoire pour nous, ton peuple racheté.

Dans le monde des humains se trouvent beaucoup de chemins mais un seul conduit à la vie.

V.28 Dans le sentier de la justice se trouve la vie; la mort n’est pas sur son chemin.

La vraie vie, la vie qui ne meurt pas est dans le sentier de la justice, la vie se trouve là où se pratique la justice et la première chose à faire pour pratiquer la justice et de se placer volontairement sous l’autorité du Seigneur, ensuite suivre ses directives, son chemin est clair, lumineux, saint. Sa parole éclaire notre chemin, elle nous indique la route à suivre, cette route nous conduit jusque dans l’éternité, tout près de lui. Sur son chemin il n’y a pas de ténèbres, tout est vie, la mort ne s’y trouve pas. Jésus a dit: celui qui croit en moi ne mourra pas, dans ce sens que ce n’est pas la mort que nous trouvons au bout du chemin mais la vie éternelle, une vie qui ne meurt pas. Jésus en est la preuve, il est ressuscité, il vit et il nous attend.

Ce chemin commence à la croix, je vous invite à cet endroit pour commencer votre nouvelle vie, et parcourir ce sentier en suivant sa parole. Jésus est la porte, il est le chemin, la mort n’a plus d’emprise, la mort est morte. J’ai trouvé le chemin, j’ai trouvé la vie.

Agneau de Dieu, victime expiatoire, je t’adore.

Claude et Liette