Mon Dieu, mon Père, écoute-moi car ma prière s’élève à toi. En Jésus-Christ, tu nous l’as dit, je puis, Seigneur, t’ouvrir mon coeur. Ah! Fais-moi grâce, Dieu tout-puissant! Tourne ta face vers ton enfant.
Quel est le sens de la vie?
V.2 Dérisoire, absolument dérisoire, dit le Maître, oui dérisoire, absolument dérisoire, tout est dérisoire.
Face à l’éternité, tout n’est que fumée, vanité des vanités, tout part en fumée. Tout est passager, fragile, futile, stérile, insignifiant. Nous travaillons très fort pour laisser une trace permanente dans ce monde mais tout est éphémère, peu consistant ce qui cause de grandes déceptions et de frustrations.
V.3 Quel avantage l’homme retire-t-il de tout le labeur pour lequel il trime sous le soleil?
Bien sûr qu’il faut travailler mais s’il en fait une idole, un sens à sa vie, il en découvre le caractère dérisoire, éphémère dans le temps qu’il passe sous le soleil. Qu’est-ce que cela rapporte?
V.4 Une génération s’en va, une autre vient, et la terre est toujours là.
Nous ne sommes pas indispensables, même quand nous ne sommes plus là, la terre continue de tourner et on nous oublie.
V.11 Seulement, on ne se souvient plus de ce qui s’est passé autrefois, et il en sera de même pour ce qui se produira dans l’avenir: ceux qui viendront après n’en auront aucun souvenir.
Aucun souvenir, quel choc de savoir que nous serons oubliés, même si notre nom est inscrit sur un trophée, une bannière, une rue, un parc, un gratte-ciel, dans les livres d’histoire, avec le temps cela ne veut plus rien dire. Il n’y a de l’intérêt que pour les historiens.
V.14 J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil et je suis arrivé à la conclusion que tout est dérisoire; autant courir après le vent.
Quand tu cours après la gloire, la reconnaissance, la richesse, le prestige, tu cours après le vent, le néant, la récompense de ton labeur est dérisoire, éphémère, ça laisse un goût amer. Il ne reste que le souvenir.
Le ciel et la terre passeront mais la Parole de Dieu demeure éternellement.
Attaches-toi à Sa Parole, elle nous montre le chemin de l’éternité, vers les biens durables.
Claude et Liette