Ce soir, vous recevez le 400e partage depuis le début de la pandémie.J’espère que chaque petit partage vous fait du bien, c’est un défi que je pensais ne pas pouvoir accomplir, je remercie le Seigneur pour sa parole qui est si riche et abondante.
Oui, (joyeux) mon cœur chante, mon âme est contente, mon Jésus est tout mon bien, je ne craindrai rien!
L’ABONDANCE DANS SA MAISON (3)
Psaume 78V.15-16 Il fendit des rochers dans le désert et leur donna à boire des flots abondants; du roc il fit sortir des ruissellements et descendre des eaux des fleuves.
Même dans le désert, le peuple n’a pas manqué d’eau, Dieu pourvoit constamment au besoin de son peuple, mais les humains sont ingrats, ne reconnaissent pas la bonté de Dieu, toujours insatisfaits, en demande toujours plus
V.19-20 Ils parlèrent contre Dieu, ils dirent: Dieu pourrait-il dresser une table dans le désert? Voici qu’il a frappé le rocher, des eaux ont afflué, et des torrents se sont répandus; pourra-t-il aussi donner du pain ou fournir de la viande à son peuple?
Témoins de la puissance de Dieu en voyant l’eau en abondance, ils tentent Dieu, ils doutent encore de sa bonté, ils ne sont pas rassasiés, ils en veulent plus, encore et encore.
V.23-29 L’Éternel donna des ordres aux nuages d’en haut, il ouvrit les portes du ciel; il fit pleuvoir sur eux la manne pour nourriture, il leur donna le blé du ciel. Chacun eut à manger du pain des grands, il leur envoya de la nourriture à satiété. Il fit souffler dans les cieux le vent d’est et amena par sa puissance le vent du sud; il fit pleuvoir sur eux la viande comme de la poussière, et le sable des mers les oiseaux ailés, qu’il fit tomber au milieu de leur camp, tout autour de leurs demeures.
Les portes du ciel s’ouvrirent et l’abondance de sa maison se déversa sur la terre, le blé du ciel, le pain des riches descendit sur le camp jusqu’à satiété. Tout autour de leur campement tombèrent des oiseaux, ils n’avaient pas à chasser, la viande était à leur porte. Sans fournir aucun effort, ils avaient à manger jusqu’à en être malades mais malgré cette abondance ils continuèrent à pécher, à murmurer, jamais contents, jamais rassasiés, ils ne sont pas entrés dans le beau pays, dans la cité de Dieu. Ils n’ont pas reconnu l’abondance de la maison de Dieu.
Frères et sœurs, n’oublions pas les bienfaits de Dieu et l’abondance de sa maison.
Soyons heureux de tout ce qu’il nous donne avec générosité et amour.
Claude et Liette